Quand le reptile se fait des pellicules, des toiles, des pages et des dessins... Blog sur l'image et la représentation en général. (cliquez sur les captures pour obtenir leur taille originale)
lundi 18 janvier 2010
Les mystères de l'ouest : La nuit du tueur désinvolte
1965
Titre original : The Wild Wild West : The night of the casual killer
Titre francophone : Les mystères de l'ouest : La nuit du tueur désinvolte
saison 01, épisode 05
Réalisateur : Don Taylor
Comédiens : Robert Conrad - Ross Martin - John Dehner
Notice Imdb
Vu en dvd
La série fait un retour violent à ses origines westerniennes. L'épisode échappe complètement pour une fois aux ambiances fantastiques et orchestre un récit ordinaire du far-west. Dans un Etat reculé un potentat local assassine tous les marshalls qui s'y frottent. Les deux espions se pointent alors en théâtreux paumés dans le désert.
Cet épisode est l'occasion pour Ross Martin en comédien shakespearien de cabotiner comme un galopin.
Le méchant du moment John Dehner joue a contrario la sobriété.
Sur ce point il est plus que correct mais justement j'aurais apprécié un peu moins de rigidité et un peu plus de folie. Le Dr Loveless me manque soudain. Je l'ai vu récemment dans Columbo : Swam song. L'actrice Ruta Lee est déjà oubliée. Sa plastique, jolie au demeurant, mais finalement commune la dessert, un physique de punaisée qui s'oublie vite dans un placard à vestiaire ou dans une cabine de camionneur, car elle manque cruellement (c'est pour cette raison que je suis volontiers méchant) de charisme.
A noter pour les aficionados de Seinfeld comme moi, que l'oncle Leo (Len Lesser) figure parmi les hommes de main de Lehner.
Un épisode où les coups de feux éclatent à profusion derrière rochers et wagonnets de mine, un brin mou du genou dirais je vulgaire que je suis.
NB. On est en droit de s'interroger sur la santé mentale de celui qui a proposé le titre français.
NB.2 C'est un des rares épisodes où Jimmy West, héros invincible joue les faibles et prend une sacrée raclée...
NB.3 Il serait appréciable que Robert Conrad arrête de sourire, son air niais dénature le personnage.
Trombi:
Dub Taylor:
Bill Williams:
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