tag:blogger.com,1999:blog-3901660496327407839.post7921758285120349804..comments2024-03-03T16:03:54.911+01:00Comments on L'Alligatographe: Quand la ville dortAlligatorhttp://www.blogger.com/profile/11816199575311204214noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-3901660496327407839.post-20498760367923754162015-01-23T02:11:29.539+01:002015-01-23T02:11:29.539+01:00Merci de publier quand même. Si nous sommes — pour...Merci de publier quand même. Si nous sommes — pour notre bonheur — différents les uns des autres<br />c'est que nous participons de cette jolie notion de biodiversité. Nous regardons le monde d'un oeil<br />différent, selon notre sexe, notre âge (j'ai peut-être la bienveillance des Mammy nova, un peu gateau sur les bords) notre expérience du film noir. La mienne est courte, malgré quoi je trouve aux protagonistes une rondeur bienveillante qui invite à l'empathie, "A bout portant" ne fonctionne pas de cette manière,<br />pas plus que le film où une jolie jeune femme reçoit en plein visage une bouilloire d'eau bouillante.<br />Ici, le rêve (irréalisable, irréalisé) des uns et des autres : les nanas, la prairie et ses chevaux, font de ces "malfrats" — je n'aurais pas utilisé ce mot si j'avais fait un mémoire sur le monde caréral — des hommes qui nous sont proches. Au départ, nous sommes de la même pâte, puis les aléas de la naissance, de la vie contribuent à nous différencier. Mais Huston, homme de coeur, ne regarde pas le monde comme<br />tant d'autres, qui ne pardonnent rien. Je me suis expliquée, je crois...Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3901660496327407839.post-26676883530651055412015-01-19T22:50:52.687+01:002015-01-19T22:50:52.687+01:00comment un si bon film peut-il engendrer une criti...comment un si bon film peut-il engendrer une critique aussi pauvre !<br />un vocabulaire monochrome dans sa pauvreté s'applique inexplicablement à tous et à toutes.<br />je viens voir ici ce que vous en dites avant de revoir ce film que j'adore. Sterling Hayden n'est pas ce que vous dites, Sam Jaffe (que l'on a vu en idiot magnifique dans L'Impératrice Rouge) — le cerveau<br />(à l'évidence Juif allemand) de l'entreprise promise à l'échec, est beaucoup plus que ce que vous en<br />dites et la niaiserie "annoncée" de Marilyn Monroe témoigne d'une méconnaissance totale et du personnage et de l'immense affection que lui a témoigné Huston (il faut lire sa biographie, un"page turner", de Joyce Carol Oates "BLONDE" et voir le film qu'a monté Huston en hommage à cette star<br />qui a eu le malheur, alors qu'elle faisait une pipe au président des Etats Unis, d'entendre un entretien<br />sur les missiles de Cuba. Le film de John Huston s'intitule MARILYN AT THE MOVIES. Voici un extrait de ce qu'on peut lire au dos du DVD : "...This vintage documentary is narrated by John Huston […]. Filmed in 1964, this was the first documentary about Marilyn after her tragic death in 1962. It features ultra rare interviews […]and a rare glimpse of Mailyn's mother".<br /><br />Comment avez-vous regardé "A seven Year Itch" ? Si vous ne connaissez pas le concerto n°2 de Chostakovitch, évidemment, vous n'avez pu goûter la scène de l'escalier (cherchez la sur YouTube).<br /><br />A la limite, il ne reste que les mots "crasse", "fange" et tutti quanti de cette critique d'un homme qui se dit<br />cinéphilologue. Ya encore du travail à faire, mon coco !Anonymousnoreply@blogger.com